Larmes de pierre : une enfance africaine
Alexandra Fuller
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Description
- Titre(s)
- Larmes de pierreune enfance africaine
- Auteur(s)
- Alexandra Fuller (Auteur)Anne Rabinovitch (Traducteur)
- Collation
- 1 vol. (346 p.) ; couv. ill. en coul. ; 18 cm
- Collection(s)
- 10-18Domaine étranger
- Année
- 2005
- Sujet(s)
- Fuller : Alexandra : Enfance et jeunesseZimbabwe : témoignage : 1953-Zambie : témoignage : 1953-Malawi : témoignage : 1953-
- Livres et Vidéos
- 968.904
- Genre
- Géographie / Histoire
- Identifiant
- 2-264-03640-0
- Langue(s)
- français
- Notes
- Numéro dans la collection principale : 3752
- Prix
- 8,50 EUR
- Editeur(s)
- 10-18Calmann-Lévy
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Avis
Des lecteurs
le 02 août 2018
Larmes de pierre
Larmes de pierre n’est pas un roman, même si on pourrait presque s’y tromper tant la vie d’Alexandra Fuller est romanesque. Elle nait, presque par hasard en Angleterre. Ses parents s’étaient installés au Kenya au moment de l’indépendance, en étaient partis pour s’installer en Rhodésie, en pleine révolution, alors qu’elle avait deux ans. La Rhodésie, devenue indépendante, prit le nom de Zimbabwe. La guerre civile les pousse à partir en Zambie puis au Malawie.
Alexandra Fuller a donc vécu son enfance en pleine guerre. A l’âge de 5 ans elle savait charger un fusil et s’en servir. Elle raconte le quotidien d’une petite fille en Afrique centrale, au milieu des serpents, des scorpions, des mines anti-personnelles et des bombes. Malgré les conditions de vie difficiles, ce livre clame son amour de l’Afrique dont elle parle avec beaucoup de poésie
En racontant son enfance, elle livre aussi la banalité du racisme dans les régimes de l’apartheid. Ce beau récit, est emprunt de sincérité, que ce soit en racontant le racisme de ses parents ou en parlant des vainqueurs qui ont pris le pouvoir après les indépendances,
Alexandra Fuller a donc vécu son enfance en pleine guerre. A l’âge de 5 ans elle savait charger un fusil et s’en servir. Elle raconte le quotidien d’une petite fille en Afrique centrale, au milieu des serpents, des scorpions, des mines anti-personnelles et des bombes. Malgré les conditions de vie difficiles, ce livre clame son amour de l’Afrique dont elle parle avec beaucoup de poésie
En racontant son enfance, elle livre aussi la banalité du racisme dans les régimes de l’apartheid. Ce beau récit, est emprunt de sincérité, que ce soit en racontant le racisme de ses parents ou en parlant des vainqueurs qui ont pris le pouvoir après les indépendances,
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