Eureka Street
Robert McLiam Wilson
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Exemplaires
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Description
- Titre(s)
- Eureka Street
- Auteur(s)
- Robert McLiam WilsonBrice Matthieussent (Traducteur)
- Collation
- 544 p.
- Centre(s) d'intérêt
- Roman irlandais
- Collection(s)
- Fictives
- Année
- 1997
- Genre
- Roman
- Identifiant
- 2-267-01425-4
- Prix
- 150 FF
- Editeur(s)
- Bourgois
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Médias
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Avis
Des lecteurs
le 06 octobre 2018
EUREKA STREET
Robert McLIAM WILSON a choisi de raconter sa ville, Belfast, dans les années 90, vers la fin du conflit qui a sévi pendant une trentaine d’année en Irlande du nord, à travers les vies de gens ordinaires, en particulier en suivant le quotidien de deux garçons sympathiques et de leurs copains, un peu paumés, issus des quartiers pauvres.
Robert trace toute une galerie de portraits de gens hauts en couleur et sympathiques. Mais ceci encadre de fait le coeur du roman où il conte Belfast avec une langue magnifiquement poétique. Il raconte ensuite le terrorisme, son horreur et son absurdité.
L’écriture est truculente, exagérée, fantaisiste, mais l’ancrage historique est bien réel. Un seul narrateur pour certains chapitres, Jake. Les autres sont écrits à la troisième personne, comme si l’auteur voulait prendre une distance. Il se moque allègrement des discours politiques proclamés pendant cette guerre civile. Il pointe essentiellement le doigt sur les souffrances subies par les petites gens et renvoie dos à dos les différents partis.
Ce roman riche a bien quelques défauts et des pages un peu longues, mais ceux-ci s’effacent devant le foisonnement de l’écriture et des personnages. Ce roman est une ode à la vie et à la fraternité.
Robert trace toute une galerie de portraits de gens hauts en couleur et sympathiques. Mais ceci encadre de fait le coeur du roman où il conte Belfast avec une langue magnifiquement poétique. Il raconte ensuite le terrorisme, son horreur et son absurdité.
L’écriture est truculente, exagérée, fantaisiste, mais l’ancrage historique est bien réel. Un seul narrateur pour certains chapitres, Jake. Les autres sont écrits à la troisième personne, comme si l’auteur voulait prendre une distance. Il se moque allègrement des discours politiques proclamés pendant cette guerre civile. Il pointe essentiellement le doigt sur les souffrances subies par les petites gens et renvoie dos à dos les différents partis.
Ce roman riche a bien quelques défauts et des pages un peu longues, mais ceux-ci s’effacent devant le foisonnement de l’écriture et des personnages. Ce roman est une ode à la vie et à la fraternité.
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